Ce titre de Rascal est, une fois encore, inventif et surprenant.
On ne se procure pourtant pas cet album pour l’histoire, qui est très minimaliste…
Sur chaque double-page, il n’y a qu’un mot, ce qui contraint le lecteur à un débit trèèèèèès lennnnnnnnt.
Quelle idée originale, à la fois simple et tellement efficace, pour s’intéresser à la perception du temps qui passe ! Continuer la lecture