calamity chat
Attention, ne vous fiez pas à la mignonnerie de Calamity, ce petit chat adorablement illustré par Nicola O’Byrne.
Calamity, surnommé Roudoudou par sa maîtresse, est le roi des bêtises !
L’album commence avec un vase de fleurs, celui-ci ne reste pas longtemps posé sur la table.
Les jeux de cartes traditionnels permettent d’imaginer tout un tas de situations d’apprentissage en mathématiques. Et on s’en procure facilement (environ 1€ le jeu à Action).
Dans la méthode MHM (méthode heuristique de mathématiques) en grande section, il est justement suggéré des activités où l’élève compare et range des cartes tout en se repérant dans un tableau à double-entrée.
Cette approche me plaît bien pour permettre aux élèves de se familiariser avec les cartes à jouer avant de leur apprendre des jeux du type pouilleux, bataille ou encore réussite… Plusieurs compétences sont travaillées en plus du repérage spatial, comme construire la notion d’ordre (aspect ordinal du nombre) ou différencier « moins que » / « autant que » / « plus que ». Continuer la lecture
Après le magnifique « Cinq dans le lit » (article à retrouver en suivant ce lien), voici un nouvel album exploitant le même concept avec autant de brio. Ce deuxième titre reprend donc l’idée d’une collection initiale de 5 animaux, cette fois-ci des renards, avec une diminution progressive de la collection par retraits successifs. Le gros intérêt de l’album, c’est que la diminution se concrétise de façon animée. En effet, les renards sont mobiles et le lecteur les fait rouler grâce à une conception ingénieuse de ce livre-objet.
« Cinq petits renards qui jouent dans la neige, oh, le joli manège ! Tiens ! En voilà un qui roule, ça fait quatre petits renards ! » Continuer la lecture
Cet album est l’occasion d’aborder le « vivre ensemble » et les règles de partage avec la classe.
L’histoire, toute simple, met en scène deux personnages auxquels les élèves pourront facilement s’identifier, il s’agit de Lulu et Coin-Coin (c’est le deuxième titre de la collection, il existe aussi « Quel malpoli ! »).
Coin-Coin trouve un bâton, il veut en faire un drapeau. Mais Lulu n’est pas de cet avis et décide que c’est une épée…
En farfouillant sur le net pour renouveler ma comptine pour débuter la nouvelle année, je suis tombée sur le forum « enseignants du primaire ». Un texte publié en janvier 2008 m’a bien plu (sans source de l’auteur et qu’on ne retrouve pas sur d’autres sites), mais finalement, je l’ai beaucoup remodelé à ma sauce. Je vous partage ma version pour les MS/GS 😊
La nouvelle année est arrivée,
Avec elle, tout va recommencer.
Le mois de janvier pointe son nez,
Tout glacé, il faut se réchauffer !
Je mets mon manteau et mon bonnet,
Celui de ma couleur préférée :
Bonnet bleu pour se sentir joyeux,
Rouge tomate pour jouer au pirate,
Bonnet gris pour se faire des amis,
Vert pomme pour rester en pleine forme…
Je choisis le bonnet arc-en-ciel,
Pour une année sensationnelle !
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03/2021 : Pour illustrer la comptine, voici une proposition publiée sur le compte Instagram @edith.mesptitesrecres. J’aime beaucoup son idée de faire dessiner les bonnets par les élèves ! Merci de faire voyager ma comptine, ça me fait super plaisir ^^
Ce travail a été réalisé par des GS avec une consigne collective et une proposition de dessin au tableau.
Deux idées en une ! On fixe une couronne cartonnée sur une feuille épaisse avec un bout de gomme fixe. Les élèves tamponnent de peinture toute la surface de leur feuille avec une éponge. On peut utiliser différentes nuances de vert pour un plus joli rendu. Une fois la peinture sèche, la couronne cartonnée sert de base pour une couronne textile, et la feuille sert de base pour une couronne graphique.
Cet album de la collection « Pont des Arts » fait référence à Alexander Calder (1898-1976), un ingénieur d’origine américaine qui se passionne très jeune pour l’art cinétique. Calder réalise de magnifiques sculptures en mouvement, nommées « mobiles » par Marcel Duchamp. L’étude de ce livre en classe est donc toute indiquée pour enrichir un projet « faire l’expérience de l’espace : l’équilibre » en lien avec les mobiles (en grande section ou cycle 2).
Le héros de l’histoire est un vieux lion, tristement seul et éreinté. Il rêve de légèreté et de liberté, mais il n’arrive pas à se défaire de son image de roi qui apeure les autres animaux.
Avant d’être baptisé « Oiseau-Lion » à l’aboutissement de sa quête identitaire, il n’est autre que « Soleil-d’Or-Crocs-en-Pattes-et-Ventre-Plein ». Continuer la lecture
Ce jeu coopératif est super pour les GS/CP ! Les joueurs sont des « poules enquêtrices » qui ont pour mission de découvrir qui a volé l’œuf en or dans le poulailler…
Pour démasquer le voleur parmi les seize suspects, les élèves vont faire appel à leur capacité à mémoriser des informations et à résoudre un problème de logique (avec un raisonnement par déduction). Les élèves forment une seule équipe. La partie est perdue si le renard rejoint sa tanière avant que l’équipe n’ait réussi à trouver le coupable.
Après avoir travaillé le repérage spatial dans des tableaux à double-entrée et de petits quadrillages, pourquoi ne pas s’amuser à faire du Pixel Art ? On trouve déjà beaucoup de ressources sur le net, mais non adaptées à la maternelle. Pourtant, les GS peuvent tout à fait s’initier au Pixel Art avec de petites grilles.
Les grilles que je vous propose font 7×7 cases. Continuer la lecture
Ce n’est pas si facile que ça de trouver des livres avec des histoires dans le thème de Noël, laïques et sans référence au Père Noël…
Voici un album de Noël comme je les aime, avec une mignonne histoire d’entraide, de partage et d’amitié ! ❤
Souricette arrive un jour de neige dans la Forêt des Cimes. C’est bientôt l’heure du réveillon et elle cherche un endroit où faire son nid, « un toit pour Noël ». Continuer la lecture
