Voici une comptine de Marie Tenaille pour les PS/MS.
Le lapin
Qui a du chagrin Continuer la lecture
Voici une comptine de Marie Tenaille pour les PS/MS.
Le lapin
Qui a du chagrin Continuer la lecture
Cette ronde plaît beaucoup aux élèves de PS/MS.
Un élève se place au milieu de la ronde formée par ses camarades. C’est le « petit lapin » qui doit mimer l’émotion de la tristesse (avec la tête baissée et les poings qui frottent les yeux par exemple), les autres élèves tournent autour de lui en chantant pendant le refrain. Continuer la lecture
Cet album pour les PS est paru chez Little Urban. Il met en scène des situations qui peuvent être source d’appréhension pour les enfants : se sentir perdu dans les rayons du supermarché, être proche des animaux du zoo, se baigner dans la mer et se faire surprendre par quelque chose qui chatouille les jambes, entendre le tonnerre…
Sauf que pour chaque situation, le petit garçon (narrateur) dit toujours : « Même pas peur ! Tu sais pourquoi ? »
Vous avez deviné ? C’est la présence rassurante de doudou-lapin qui aide à dédramatiser.
Cet album paru chez Bayard Jeunesse est vraiment bien adapté pour introduire une séquence Ombres et Lumière avec les élèves de maternelle.
Dans cette histoire (accessible dès la MS), Petit Lapin blanc est apeuré par… le mystérieux Lapin Noir.
Partout où il se rend, Petit Lapin constate que Lapin Noir est toujours là, terrifiant.
Petit Lapin se donne pourtant du mal pour semer cet affreux Lapin Noir ; il court, se cache, traverse la rivière…
Mais c’est peine perdue !
(L’image ci-dessous est extraite du début de l’album. Pour avoir une ombre, il faut de la lumière. J’ai apprécié que le texte commence justement par signaler la présence du soleil !)
Cet album très sympa de Raphaëlle Barbanègre est paru en 2013 aux éditions Graine2. Il permet de découvrir différents lieux parisiens emblématiques de façon originale, en suivant l’aventure d’un doudou oublié près de la Tour Eiffel.
Il peut aussi être l’occasion de se familiariser avec un plan, en effet, les pages internes de la couverture retracent le trajet du doudou sur le plan de Paris.
La construction de l’album est intéressante, permettant une « double-lecture ». Continuer la lecture