Cette couverture interroge, en effet, elle ne laisse apparaître ni le titre de l’album ni le nom de son auteur. L’éditeur a vu juste avec ce choix audacieux : il rend les lecteurs complices de ces informations secrètes, pour ceux qui connaissent le titre, tout en piquant la curiosité des autres lecteurs. Cet album est un bijou et il devient aussi un livre-objet d’art à exposer avec cette adorable illustration de Marianne Dubuc parfaitement mise en valeur.
Le nombre de pages peut inquiéter les enseignants de maternelle (76 pages !). Et pourtant, cela ne doit pas être un frein pour rejoindre la bibliothèque de la classe car cet album a toute sa place en maternelle (MS/GS). Continuer la lecture