Sept morceaux de papier. Un auteur créatif.
Les morceaux de papier deviennent une poule, un poisson, une grenouille… selon la manière dont Édouard Manceau les dispose. Quelques traits de crayon noir viennent compléter les compositions. Lorsque les morceaux de papier se transforment en personnages, le texte s’apparente à une randonnée avec une structure par accumulation. Puis le vent entre en scène… Et en guise de conclusion, l’auteur nous invite clairement à utiliser à notre tour ces sept morceaux de papier ! 😉
« Je vous les donne ! Prenez-les.
Et faites-en ce que vous voulez… »
Il y a aussi cette citation d’Aristote en préambule de l’album : « La richesse consiste bien plus dans l’usage que dans la possession. » L’auteur (ou le vent !) se dépossède de ses morceaux et leur offre ainsi une vie qui se prolonge en dehors de l’album, dans les maisons, les bibliothèques… et dans les classes.
Et pour cette belle opportunité donnée aux élèves de développer leur créativité en trouvant de nouvelles compositions avec ces sept formes « imposées » (qui revisitent le tangram chinois ^^), nous n’avons plus qu’à dire « merci, le vent », ou « merci, Édouard » !
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Référence de l’Album sur Amazon :
« Merci, le vent ! » est un album d’Édouard Manceau qui est paru en 2011 chez Milan Jeunesse. |